Les bas me blessent
Des fontaines d’Alicante
Aux sources hypnotiques
Le corps comme irradié est devenu objet
Sur ta peau dépeuplée tu portes les
des portes aux peupliers
Je songe encore à nous
à genou
j’y songe… encore… encore à nous…
que de rêves endormis dans mes sommeils d’éveils
que de veilles ahuries pour n’y
autre que toi
ne laisse là… ne laisse pas… ne ME Laisse pas…
Les longues velléités ne méritent pas ta chair
Ni ton sort ni tes gestes
qui coulent à tort... faiblesses… Blesse mon ?
aux abords de ma mort
Oh que la souffrance
Oh que ma souffrance
Oh qu’il ne faut pas… souffrance… non… laisse !
Je ne sais pas
Plus ? parler